La langue est concrète, d’aujourd’hui, portée par un souffle poétique et charnel, notamment lorsqu’elle fait parler son antihéros : petit truand, minable et magnifique à la fois, essayant de résister comme il peut à l’amenuisement de l’univers carcéral.
Une pièce intense, parfois violente, qui nous parle d’enfermement et de désir.