Embarquez à bord du Boeing Jet air Lag de la Compagnie Chaliwaté. N’ayez crainte, nos trois pilotes Sandrine Heyraud, Sicaire Durieux et Loïc Fauré n’en sont pas à leur premier vol long courrier. En effet, depuis sa création en 2005, la Compagnie Chaliwaté compte à son tableau de bord 4 spectacles de leur cru : Îlo, Joséphina, Jetlag et Backup.
Un voyage émotionnel, en perpétuel décalage.
Entre deux aéroports, un homme cherche à tromper sa solitude.
Dans la confusion des déplacements, où l’espace et le temps se perdent, il rêve d’un nouveau départ.
À travers une douzaine de tableaux, du hall de l’aéroport au poste de pilotage, la scénographie singulière de Jetlag mêle le comique de situation au destin d’un personnage à rebours sur le reste du monde, enivré d’insouciance et affranchi des conventions.
Après le succès de Joséphina, la Cie Chaliwaté revient avec un nouveau spectacle gestuel, poétique et attachant.
Êtes-vous prêts à jetlager ?
Sans même échanger un seul mot, nos trois protagonistes enchaîneront situations burlesques et absurdes. Ils nous feront voyager au travers d’une douzaine de tableaux, en passant par la cabine des passagers, le poste de pilotage, ou encore, le hall de l’aéroport. Et dans chaque tableau, sur fond de danse, de cirque et de théâtre d’objets, l’écriture chorégraphique millimétrée viendra suivre les pérégrinations de notre héros tragique, un homme seul, malchanceux et désemparé.
Dans cet imaginaire étourdissant de poésie visuelle, de mime imprévisible ; la Compagnie Chaliwaté nous plongera dans un espace hors du temps, un entre-deux où on n’est plus vraiment ici mais pas encore là-bas ! Cette sphère de transit, les trois acrobates la rempliront de divagations cocasses, de sketchs hilarants et d’affrontements délirants !
Comments 2
Chaliwaté ❤❤❤❤
Je l’ai vu ! C’est absolument génial !!! Enfin moi, j’ai adoré. Je ne suis pas un blond svelte et glabre aux yeux bleus de 22 ans qui me balade en Porsche cabriolet à L.A. Je suis un être humain avec ses doutes, ses imperfections, ses fantaisies. A travers Jetlag , mine de rien, très technique, c’est la plus belle face de l’humanité que l’on aperçoit : la vraie ! Bientôt pour expliquer les films de Woody Allen ou l’ambiance de « Full Monty » on dira : « Tu vois, c’est un peu genre Jetlag. »