Homo Sapienne

Quoi

ODE AUX MONDES EN DEVENIR

« Homo Sapienne » met en scène les métamorphoses croisées de cinq jeunes gens vivant au bout du monde, au Groenland. Dans une société au bord de l’effondrement, ils vont faire éclater les tabous en se découvrant tour à tour une sexualité différente. D’after en after, en proie à un désir brûlant d’authenticité, chacun·e des protagonistes va se libérer de la peur d’être ellui-même, en dynamitant les modèles conformes de l’identité genrée.
« Homo Sapienne » est le cri gigantesque d’une jeunesse d’aujourd’hui, dans la longue nuit des glaces qui fondent, sur l’île de la colère. Un cri qui guette l’aube en hurlant à l’amour, à la mort, à la renaissance.
Cette création conçue comme une polyphonie à la fois intimiste et exubérante, résonne comme un chant d’espoir. Oscillant entre théâtre, danse, et performance, elle invite à de nouvelles perceptions.
– Avec le soutien de la Cellule Egalité des Chances de la Ville de Bruxelles

Vidéos

Photos

La Presse

"Natalie Yalon est au micro sur Radio Panik

Palmina Di Meo dans Screenshot le 03-12-23

"Iels pleurent leur rage d’arriver dans ce mode et de devoir définir leur propre système de valeur parce que le système de valeur dont iels héritent est complètement pourri

David Courier dans LCR sur BX1 le 11-12-23

""Homo Sapienne": cinq jeunes sur une île à la dérive transgressent les normes de la sexualité

Stéphanie Bocart dans la Libre du 13-12-23

"Maria Bemba est venue découvrir "Homo Sapienne" et rencontrer les spectateur·ices à la sortie de la première

Maria Bemba dans le Brunch sur BX1 le 14-12-23

Quand

Événement terminé

qui ?

Adaptation théâtrale du roman de Niviaq Korneliussen
Mise en scène Natalie Yalon | Dramaturgie Fabrizio Basano, Natalie Yalon | Assistanat à la mise en scène Aurélien Milcamps | Interprétation Dimitri Carême, Nedjma Dulout, Fanny Gelas-Mignon, Lisa Kaison, Louna Toussaint |Lumières, scénographie et création sonore Xavier Lauwers | Performance life art Inbal Yalon

Coproduction Liola asbl, Studio Michael Chekhov, Cellule 133