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L’orkestre – Archive

Événement terminé

L’Orkestre, une co-mélo-die.

C’est l’histoire de quatre musiciens d’un groupe de bal qui animent une soirée de mariage. On les suit à la fois dans la loge qu’on a mise à leur disposition, c’est-à-dire dans leur intimité, et sur scène, en live, quand ils animent le bal.

Les mariés, Pierrot (francophone) et Miranda (néerlandophone), ont loué les service de l ‘Orchestre de Pierre Lebrun.

L’OPL,  c’est Frank, Manu, Koen (néerlandophone) et Raymond.

Quatre gaillards, quatre artistes pétris de talent, de bonne volonté et de problèmes personnels. Et qui trimbalent une histoire commune, banale mais imparable.

Le contrat pour la soirée a été mal dealé.

Ce soir, ils vont donc devoir jouer plus longtemps que d’habitude. Beaucoup plus longtemps.

Tellement longtemps, qu’ils finiront par se retrouver dans un état d’épuisement et de fragilité propice à la franchise, aux règlements de compte et autres confessions. Ils joueront cependant jusqu’au bout.

Jusqu’au clash.

De

Pascale Vander Zypen et Olivier Darimont

Mise en scène

Pascale Vander Zypen

Avec

Philippe Allard, Olivier Darimont, Frédéric Frouch Dailly et Pierre Poucet

Création lumière

Thomas Vanneste

Costumes

Odile Dubucq

Conception décor

Olivier Damien

Avec Philippe Allard, Olivier Darimont, Frédéric Frouch Dailly et Pierre Poucet | Mise en scène Pascale Vander Zypen



Un projet de l’asbl En Fanfare en coproduction avec l’Atelier Théâtre Jean Vilar. Avec le soutien du Centre Culturel du Brabant Wallon et de la Compagnie Paul Production (France)

Comments 1

  1. C’est joliment écrit et décrit, bourré de tendresse, saupoudré de talent et de morceaux de bravoure (la version flamande de « Hotel California », ça vaut le déplacement!), ça vient vous chercher là où ça fait (très) mal à tous les artistes et c’est délicieusement belge, aussi. En plus, c’est truffé de moments de très beau jeu d’acteurs. C’est le genre d’OTNI (objet théâtral non identifié) qui apparaît de temps en temps et dont on se dit: « Merde, je suis heureux d’avoir vu ça ! « 

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