Une parole brute, pulsionnelle. Celle d’une narratrice, petite dernière d’une famille d’immigrés espagnols qui nous transporte dans l’ambiance d’un café populaire, dans l’univers des chants et des danses de son histoire.
Elle nous dépeint avec gouaille, à travers ses yeux d’enfant, d’adolescente puis de femme, un monde en totale mutation où la joie du collectif fait place peu à peu à la violence d’un système qui isole.